Cet accord renforce l’axe Moscou–Ouagadougou dans un secteur hautement stratégique. Il porte sur le développement d’infrastructures nucléaires, la formation de compétences locales, ainsi que l’utilisation des technologies de radiation dans des secteurs clés comme la médecine, l’agriculture et l’industrie.
Selon Rosatom, ce partenariat s’inscrit dans la continuité d’une feuille de route signée en 2023, et fait suite à l'engagement du capitaine Ibrahim Traoré, président de la transition burkinabè, lors du sommet Russie-Afrique.
Outre un projet de centrale nucléaire prévu pour améliorer le taux d’électrification très faible du pays, la Russie accompagne aussi le Mali voisin à travers sa filiale NovaWind, engagée dans la construction d’une centrale solaire près de Bamako.
Cette série d’accords traduit la volonté de Moscou d’intensifier sa présence énergétique sur le continent africain, avec une offre alliant expertise technologique et partenariats sur mesure.
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